Art. de blog sur les limites de l'indignation en ligne

[Rapiette]

Bonjour !


Il y a quelques jours, l'auteur d'un blog hébergé par Le Monde a publié un article intitulé :

"Du danger de (trop) s’indigner en ligne

L’indignation est un des carburants qui font tourner Twitter ou Facebook. Mais à force, notre capacité à distinguer la tragédie de la simple nuisance s’estompe."


http://www.lemonde.fr/big-browser/a.....igne_5203946_4832693.html

Par les temps qui courent, cette réflexion m'a paru intéressante.

Bonne journée !

Rapiette

[bobette]

Rapiette a écrit:

Par les temps qui courent, cette réflexion m'a paru intéressante.

ouaip ! et tant qu'à faire on peut tenter de s'indigner constructivement !

[Rapiette]

Bonjour Bobette !

Bien d'accord sur la nécessité d'être constructifs. Trop d'indignation épidermique, trop de hâte à désigner des coupables risque d'être contreproductif. On marche sur des œufs, mais on avance.

Bien avant la crise, on avait déjà notre indignation de malades mal considérés, c'est l'occasion de s'en servir pour demander une meilleure prise en charge.

Bonne journée !

Rapiette (toujours pas tentée par FB and C°)

[bobette]

ben j'ai ouvert une page FB obligée, mais uniquement pour pouvoir accéder aux vidéos etc d'un évènement familial (j'ai pas pu y aller, trop compliqué vu ma santé en ce moment).

j'y mets quelques trucs relativement neutres, pour dire que...genre lien vers chanteurs de mon époque etc ou lien d'actualité sur les ouragans etc

j'ai commis l'erreur de mettre "amis" deux de mes proches, et depuis j'ai des demandes d'amis d'amis etc... j'ai juste l'impression d'une grande hydre qui essaie de m'avaler, ça me met mal à l'aise, et franchement j'ai pas envie de rentrer dans la vie de plein de gens, par ex que je connais depuis l'enfance ou qui sont les nouvelles fréquentations de mes gosses (et que bof), que je veux bien croiser amicalement dans la rue ou boire un café occasionnellement mais pas trop pour le reste....j'ai pas envie de savoir...j'aime bien mon quant à soi intime à moi.